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Magnifiquement composés et orchestrés, deux monologues sur l’homme et la femme dressés l’un contre l’autre. Une symphonie du désamour, un spectacle radical et magistral qui a enflammé le festival d’Avignon 2011.
Une salle de répétition aux néons crus (splendide espace hyperréaliste de Daniel Jeanneteau). Une diagonale où se font face un homme et une femme, encore jeunes. Ce sont des artistes, on ne sait pas de quelle discipline, peu importe, mais on sent qu’ils sont déjà revenus de l’aventure du couple. (...)