Michael Lonsdale et Titi Robin chantent la beauté du monde. Tissant les mots et les sons d’une poésie intime, leur échange nous enlève sur un tapis volant. Une rencontre alchimique où poésie et musique ne font qu’un.
Le dialogue de ces deux artistes est né comme une évidence, lors de leur rencontre au Festival de la poésie de Sète. Entre l’immense comédien Michael Lonsdale, cette voix unique, que Titi Robin compare à un magnifique violoncelle, ce compagnonnage intense avec la poésie ; et l’artiste angevin, Titi Robin, baigné depuis toujours dans les eaux des cultures méditerranéennes, a jailli L’ombre d’une source. Les partitions du comédien et du musicien se mêlent dans un dialogue fusionnel pour former un seul chant, empreint de poésie, d’émotion et de pureté.
Au bouzouq ou à la guitare, Titi Robin puise aux sources des musiques tsiganes ou orientales, mais « la musique n’est pas là pour accompagner les mots. Ce sont deux voix qui parlent conjointement, qui se croisent et se répondent. » « Titi me touche profondément, quand il parle de brindille, de ces petites choses sans gloire. Je suis sensible aux fleurs qui poussent entre deux pierres, à la fragilité, à l’infime beauté. » Une ode à la lenteur, à la simplicité, à la sérénité.
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La presse
Voilà la rencontre d’un virtuose passionné de poésie et de l’une des plus belles voix du théâtre et du cinéma. Dans L’ombre d’une source, leur projet en duo, les mots viennent se poser sur des airs de guitare, de bouzouq et de robâb. Pour un voyage aussi méditatif qu’enveloppant.
Marie-Catherine Mardi. Télérama
Générique
avec
- Michael Lonsdale, récitant,
- Titi Robin, guitare, bouzouq, oud, textes et musiques Titi Robin
photo © Thomas Dorn
Date
Lundi 25 janvier à 19h30 / T900